Moi et les autres

J’aime écrire sur moi, et oui, je connais bien le sujet. Je peux même dire que je le maîtrise.
Je voudrais pouvoir écrire sur un tas d’autre choses mais j’ai une difficulté certaine à avoir des idées bien arrêtées sur ce que je pense.
Quand j’étais jeune, j’avais parfois honte de mes goûts qui ne correspondaient pas à ceux des autres. Si aujourd’hui, je m’en moque éperdument je ne vois pas l’intérêt d’écrire sur ce qui se passe en France, d’autres le font tellement mieux. Et finalement, ça ne m’interresse pas de parler du président, de sa femme ou de ses ministres. Parfois tout  de même, j’ai des idéesd’écriture sur les autres mais elles me viennent de mon travail et ce n’est pas facile d’en parler, ce n’est pas le moment encore, certainement.
Mais l’autre jour, j’ai eu une idée, j’ai vu le titre d’un article avec la photographie qui allait avec. Les français deviennent de plus en plus gros (c’était dans ce genre là) la photo montrait des femmes (tiens !) de dos énormes.
Automatiquement, un souvenir m’est revenu à la mémoire. Une de mes collègue m’avait raconté qu’elle n’avait jamais été aussi potelée que lorsqu’elle avait été pauvre.
Tu comprends,m’a-t-elle dit moins tu as d’argent, plus tu manges ce qu’il y a de moins cher et en général ce ne sont pas les légumes.
C’est l’idée qui m’est revenue à la mémoire.
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