Florence

 

Nous avons pris le train à Certaldo assez tôt afin de ne pas avoir à garer la voiture dans la ville et pour éviter la fatigue au conducteur.

Je n’en avais rien lu par contre j’en avais entendu beaucoup et tout se contredisait. J’étais donc en position d’attente et de découverte mais je ne m’attendais pas à ça.

Lorsque je suis arrivée sur la place de la cathédrale, j’ai eu un cri de surprise et ma respiration s’est arrêtée un temps. J’ai regardé, immobile, et lentement j’ai repris possession de mon esprit  et de ma respiration. Eblouie, j’’ai pensé qu’il y avait autant de monde au XVe siècle.

Je suis revenue sur terre rapidement, mon fils fut peu réceptif au beauté florentine.

 

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